spiritualite

Publié le 1 Juillet 2010

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Benoît XVI saluera Barcelone en papamobile le 7 novembre



 

La visite du Pape Benoît XVI à Barcelone, le 7 novembre, comportera une promenade en ville, sous contrôle absolu. Le séjour papal en Catalogne, confirmé par le Vatican et l'Archevêché de Barcelone en mars dernier, prévoyait déjà une messe géante à l'intérieur et autour du temple expiatoire de la Sagrada Família. Mais le souverain pontife parcourra aussi plusieurs artères de la capitale catalane, à bord de la célèbre "papamobile", selon un itinéraire encore tenu secret. Ce mercredi, le maire de Barcelone, Jordi Hereu, membre du Parti des Socialistes de Catalogne, a manifesté son enthousiasme après avoir pris connaissance de cette information, car il s'agit, de son avis, d'une "chance magnifique" de montrer la ville au monde entier. Interrogé par l'agence Europa Press, M. Hereu a précisé que "pour la première fois, la Sagrada Família sera visible de l'intérieur, en tant que temple". Précédemment, en 1982, une visite du Pape Jean-Paul II avait fourni une promotion planétaire à Barcelone, préalable au changement d'époque et de statut de la ville, signalé par les Jeux Olympiques de 1992. Lors de cette visite spirituelle, Jean-Paul II avait emprunté, avec son véhicule aux vitres blindés, la place Urquinaona et l'avenue Via Laietana, qui rejoint la mer au départ du centre de Barcelone.

 

 


 

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Publié le 25 Juin 2010

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Guillaume, né de parents nobles, à Verceil, avait à peine achevé sa quatorzième année, quand il accomplit le pèlerinage de Compostelle avec un admirable esprit de pénitence et une ardente piété. Ensuite, après avoir essayé en vain de faire un autre pèlerinage au sépulcre du Christ, il demeura deux ans caché sur un mont solitaire, dans la pratique assidue de la prière, des veilles et des jeûnes. Comme il avait rendu la lumière à un aveugle, il s'en alla, pour fuir l'estime des hommes, bâtir un monastère en un lieu abrupt et inaccessible, sur le Front Virgilien, appelé depuis mont de la Vierge. Là, il s'adjoignit des compagnons et les forma tant par des lois déterminées, tirées en grande partie de celles du bienheureux Benoît, que par sa parole et les exemples d'une vie très sainte. Ayant ensuite bâti d'autres monastères, l'éclat de sa sainteté grandissant de jour en jour amena vers lui de toutes parts des hommes, attirés aussi par la renommée de ses fréquents miracles. Enfin, après avoir prédit le moment de sa mort, il s'endormit dans le Seigneur, en l'an du salut onze cent quarante-deux.

 

A la suite de Jean vous comprîtes les attraits du désert, Ô Guillaume, et Dieu voulut montrer par vous l'utilité que renferment ces existences qui, dans leur fuite du monde, semblent se désintéresser des affaires humaines. Le détachement complet des sens, dégageant l'âme, la rapproche du souverain Etre ; la solitude, éteignant les bruits de la terre, permet d'entendre la voix du Créateur. L'homme alors, éclairé par l'Auteur même du monde sur les grands intérêts mis en jeu dans son œuvre, devient en ses mains un instrument aussi puissant que docile pour la poursuite de ces intérêts, qui ne sont autres que ceux de la créature elle-même et des nations. Ainsi devîntes-vous, illustre Saint, le boulevard d'un grand peuple qui trouva dans votre parole la règle du droit, dans vos exemples le stimulant des vertus les plus hautes, dans la surabondance de votre pénitence une compensation devant Dieu aux écarts de ses princes. Pour ce peuple nouveau, en qui le succès de ses armes excitait la violence et la fougue de toutes les passions, les miracles sans nombre qui accompagnaient vos exhortations avaient, eux aussi, leur éloquence : témoin ce loup qui, après avoir dévoré l'âne du monastère, fut condamné à le remplacer dans son humble service ; témoin la malheureuse qui, au jour où sur un lit de charbons ardents vous parûtes inaccessible à l'action de la flamme, renonça à sa vie criminelle et fut conduite par vous jusqu'à la sainteté.

 

 


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Publié le 23 Juin 2010

 

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Benoît XVI, lors de l’audience générale du 23 juin, a appelé une fois encore les fidèles à se rendre à la messe. “Tombons amoureux du sacrement de l’Eucharistie“, a-t-il ainsi lancé devant quelque 7’000 pèlerins rassemblés dans la Salle Paul VI au Vatican.


Dans une nouvelle catéchèse consacrée à saint Thomas d’Aquin (1224-1274), Benoît XVI s’est notamment penché sur le sacrement de l’Eucharistie, la messe, et a lancé cet appel: “A l’école des saints, tombons amoureux de ce sacrement, participons à la sainte messe avec recueillement pour en obtenir les fruits spirituels“. “Entretenons-nous souvent en tête-à-tête avec le Saint-Sacrement“, a-t-il ajouté

 

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Publié le 21 Juin 2010

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Pourquoi cette date du 24 juin ? La réalité est bien différente. Je l’ai déjà signalé, le hasard n’existe pas dans les plans de Dieu. Tout a une signification. Des découvertes récentes faites par un chercheur juif, spécialiste et savant, ont permis (comme je l’ai indiqué dans un article de Hermas), de fixer avec précision la date de la conception de Jean Baptiste, et donc la date de sa naissance. C’est bien le 24 juin que Jean, appelé plus tard le Baptiste est né. Et c’est donc bien le 25 décembre que Jésus est né. Or, nous découvrons que, le 24 juin, la durée du jour commence à diminuer, et que le 25 la durée du jour commence à augmenter. Que celui qui a des yeux pour lire, et des oreilles pour entendre, qu’il soit attentif, pour découvrir la vérité profonde que revêtent ces dates.

 

 

hermas .

 

 


 

 

 

 

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Publié le 21 Juin 2010

 

 

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nous nous unissons à la prière de 

 

  la communauté st Martin


 

Le 26 juin 2010, trois prêtres et huit diacres seront ordonnés pour la Communauté Saint-Martin par S.E le Cardinal Claudio Hummes, préfet de la Congrégation pour le Clergé, en la Basilique Notre-Dame de la Trinité à Blois.


entre autres...une pensée pour eux et leur famille que nos prières les accompagnent.

 

Alban Dyèvre: prêtre

 

Pierre Doat: diacre

 

Ordinations sacerdotales

Cathédrale de la Résurrection

dimanche 20 juin 2010

 

Monseigneur Dubost ordonnera 3 prêtres pour le diocèse d’Évry-Corbeil-Essonnes :

 

dont


- Dunstan de LASSENCE

 

radio Notre Dame

 

 

 

 

 

Cher frères et soeurs,

 

Ce matin, dans la basilique Saint-Pierre, j'ai conféré l'Ordre presbytéral à quatorze diacres du diocèse de Rome. Le sacrement de l'Ordre manifeste, de la part de Dieu, une proximité attentionnée envers les hommes et, de la part de celui qui le reçoit, une pleine disponibilité à devenir un instrument de cette proximité, avec un amour radical pour le Christ et pour l'Eglise. Dans l'Evangile de ce dimanche, le Seigneur demande à ses disciples : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » (Lc 9, 20). L'apôtre Pierre répond promptement à cette question : « Tu es le Christ de Dieu, le Messie de Dieu » (cf. Ibid.), dépassant ainsi toutes les opinions terrestres qui considéraient Jésus comme un des prophètes. Selon saint Ambroise, avec cette profession de foi, Pierre « a embrassé toutes choses parce qu'il a exprimé la nature et le nom » du Messie (Expo. In Lucam VI, 93, CCL 14, 207). Et face à cette profession de foi, Jésus renouvelle à Pierre et aux autres disciples l'invitation à le suivre sur le chemin exigeant de l'amour jusqu'à la Croix. A nous aussi, qui pouvons connaître le Seigneur à travers la foi dans sa Parole et dans les sacrements, Jésus propose de le suivre chaque jour et à nous aussi il rappelle que pour être ses disciples il faut s'approprier le pouvoir de sa Croix, sommet de nos biens et couronne de notre espérance.

 

Saint Maxime le Confesseur fait observer que « le signe distinctif du pouvoir de notre Seigneur Jésus Christ est la croix, qu'il a portée sur ses épaules » ( Ambiguum 32, PG 91, 1284 C). En effet, « ils disaient à tous : 'Celui qui veut marcher à ma suite, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix chaque jour, et qu'il me suive' » (Lc 9, 23). Prendre sa croix signifie s'engager à vaincre le péché qui entrave le chemin vers Dieu, accueillir chaque jour la volonté du Seigneur, faire grandir sa foi surtout face aux problèmes, aux difficultés, à la souffrance. La sainte carmélite Edith Stein nous en a donné un témoignage en temps de persécution. Voici ce qu'elle écrivait du Carmel de Cologne en 1938 : « Aujourd'hui je comprends... ce que signifie être épouse du Seigneur sous le signe de la croix, même si on ne le comprendra jamais complètement puisqu'il s'agit d'un mystère... plus il fait sombre autour de nous plus nous devons ouvrir notre coeur à la lumière qui vient d'en haut » (La scelta di Dio. Lettere (1917-1942), Roma 1973, 132-133). A notre époque aussi, ils sont nombreux les chrétiens à travers le monde qui prennent chaque jour leur croix, que ce soit celle des épreuves quotidiennes ou celle qui a été provoquée par la barbarie humaine et qui exige parfois le courage du sacrifice extrême. Que le Seigneur nous donne, à chacun, de toujours remettre notre solide espérance en Lui, avec la certitude qu'en le suivant en portant notre croix, nous parviendrons avec Lui à la lumière de la résurrection.

 

Nous confions à la protection maternelle de la Vierge Marie les nouveaux prêtres ordonnés aujourd'hui qui se joignent à la foule de ceux que le Seigneur a appelés par leur nom : qu'ils soient toujours des disciples fidèles, de courageux annonciateurs de la Parole de Dieu et administrateurs de ses dons du salut.

 

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Publié le 17 Juin 2010

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à l'heure du Mexique

priez p eux.

 

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  gagné dans ses pronostics !

 

  http://www.midiexitos.com/fotos/Viva_mexico.jpg

http://www.legrandjournal.com.mx/wp-content/uploads/Football-Mexique-150x150.jpg

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Publié le 16 Juin 2010

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Vénérable Juan de Palafox y Mendoza

 

obispo de Osma sera béatifié le 1er Mai 2011

né le 24 Juin 1600 Fitero Navarre.



 


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Publié le 14 Juin 2010

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Le travail c'est la sainteté.

 

 

 

Une affiche placardée à quelques mètres de ma porte m’a interpellé : on y voit les mains d’un homme agrippant des barreaux de prison. Message associé : « la retraite devrait être une libération ». La campagne, diffusée ces jours-ci, est signée PCF.

 

Le travail est-il un tel esclavage, que son aboutissement dans la retraite soit perçu comme une libération ? Pour un parti qui fonde son idéologie sur la lutte des classes, nul doute : le travail est un instrument de domination d’une classe privilégiée (les capitalistes) sur une classe exploitée (les prolétaires).

 

Le travail : un purgatoire ?

 

Pour le jeune pro que je suis, qui en goûte les joies et les peines, le travail est avant tout un facteur d’autonomie qui permet de plus n’être « à charge », mais également un lieu où me sont confiées des responsabilités (parfois écrasantes, mais qui font grandir).

 

J’ai cependant la chance d’avoir un emploi intéressant, exercé dans de bonnes conditions, et suis conscient que de nombreux travailleurs, qui souvent n’ont pas réellement choisi leur poste, pâtissent de dures conditions de travail.

 

La vision biblique du travail n’a, à première vue, rien à envier au communisme : dans la Genèse, la peine qui l’accompagne le travail est la conséquence du péché originel. Elle y est mise en parallèle avec la douleur (qu’on sait vive) de l’enfantement.

 

L’oisiveté n’a pas plus les faveurs de la Bible : difficile, à l’époque du chômage de masse, d’entendre la parole de Paul aux Thessaloniciens (2Th 3 ,10) : « celui qui ne veut pas travailler, ne doit pas manger non plus » !

 

Comment réconcilier ces deux positions ?

 

Travailler plus… ?

 

Faut-il, au nom du progrès, rejeter l’injonction de Paul ? Ceux qui en seraient tentés admettront que Paul était également précurseur dans la justice sociale : « il faut que celui qui laboure le fasse avec espérance et que celui qui bat le blé puisse compter sur sa part» (1 Cor. 9-9). L’homme qui a écrit cela serait sans doute aujourd’hui aux côtés des travailleurs sans papiers.

 

Certains passages des évangiles semblent à l’inverse s’opposer frontalement à toute logique économique : rappelez-vous la parabole des ouvriers de la dernière heure, payés à l’égal de ceux qui ont peiné toute la journée, ou de Marthe, qui après s’être affairée à le recevoir entend Jésus lui dire que Marie a choisi la bonne place…

 

C’est que l’Évangile n’est pas un manuel d’économie… et son message n’est pas « travailler plus pour gagner plus » ! Cette idéologie, celle du self-made man, est l’opposé du christianisme… qui invite justement à se reconnaître héritier, intendants de nos propres vies et non propriétaires.

 

« Travaillez plus car vous avez reçu plus » est sans doute beaucoup plus évangélique ! Souvenez-vous de la parabole des talents (Mt 25,14-30)… Le travail prend ainsi une dimension morale… difficilement audible par une génération dont les comptes publics sont en déficit constants depuis 1974 !

 

Convertir notre regard sur le travail et par le travail

 

Il nous faut donc convertir notre regard sur le travail, pour cesser de le voir seulement comme source de peine, mais aussi comme un moyen qui nous est donné de manifester notre reconnaissance face au don de Dieu.

 

Une seconde lecture plus attentive de la Genèse montre que le travail existe dès avant le péché originel : seule la peine qui y est associée en est la conséquence. Par le travail, au contraire, nous avons la possibilité d’être associés à l’œuvre de création de Dieu.

 

Le Christ a également voulu nous faire collaborateurs et associés de notre propre salut en nous donnant comme signe de son corps le pain, « fruit de la terre et du travail des hommes ».

 

Qu’est-ce qui sépare le travail-prison du travail-libération ? L’employé captif de l’ouvrier du Royaume ? L’histoire du Fils Prodigue (cf. Lc 15, 11-32) l’illustre assez bien. Ayant demandé sa part d’héritage (signifiant ainsi à son père qu’il est mort à ses yeux), il dilapide tout : c’est le fait de travailler loin de son Père qui lui fait prendre conscience de sa bonté, de la gratuité de ses dons.

 

Retrouver le goût du travail passe peut-être par laisser une place pour Dieu dans notre travail :

 

* cesser de travailler pour soi ou pour être bien vu, mais placer l’homme au centre en valorisant le travail de nos collaborateurs ;

* refuser de faire du travail l’unique centre de notre vie, en prenant des temps de retraite, pour cesser de guetter chaque jour LA retraite ;

* si l’on est un manager, en leur manifestant de la confiance tout en les amenant à se développer dans leurs compétences et leur personnalité.

 

Un saint, Josemaria Escriva, avait compris l’importance du travail vu comme une spiritualité enracinée, au quotidien, dans le Christ. L’institution qu’il a fondée, l’Opus Dei, porte dans ses gènes cette volonté de ne pas chercher les grandes choses, mais de se laisser sanctifier dans son travail1.

 

In fine, si nous convertissons notre regard sur le travail, c’est notre travail qui bientôt nous convertira. Nul besoin de grandes choses, de « réussir » : si vous connaissez Dieu, votre vie est déjà réussie !

 

A quand « travailler mieux pour trouver Dieu » ?

 

 

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Publié le 13 Juin 2010

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Prière pour obenir une grâce particulière

 

Saint Antoine, puissant thaumaturge, j'ai recours à vous dans ma détresse; je viens implorer votre secours et votre protection, votre conseil et votre consolation. O consolateur plein de commisération, vous venez si puissamment au secours de ceux que l'épreuve fait gémir. Je viens donc à vous dans ma pauvreté et ma misère, avec une confiance toute filiale, afin d'obtenir du Dieu puissant et miséricordieux la grâce que je sollicite en toute humilité.

(Ici l'on désigne la grâce que l'on veut obtenir.)

Bon saint Antoine, il est vrai, je suis indigne de votre commisération, car trop souvent j'ai offensé votre Dieu et le mien. Cependant je mets ma confiance en vous, le bienfaiteur de tant d'hommes éprouvés par la douleur.

J'ai le ferme espoir que vous ne refuserez pas votre aide paternelle à votre indigne enfant. Daignez donc intercéder pour moi auprès de Dieu jusqu'au jour où ma demande sera agréée. Ainsi soit-il.

 

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