Publié le 19 Novembre 2020

 

 

 

 

 

Bienheureux Vidal Luis Gómara,

prêtre profès de l'Ordre des Prêcheurs et martyr

 

 Il est né à Monsagro, province de Salamanque, Espagne, le 3 novembre 1891 et a été martyrisé à Paracuellos de Jarama, province de Madrid, Espagne, le 18 novembre 1936 

 

Béatifié pendant le pontificat de Sa Sainteté Benoît XVI, par le cardinal José Saraiva Martins, c.m.f., préfet de la Congrégation pour les causes des saints et légat papal, place Saint-Pierre au Vatican, le 28 octobre 2007

 

 Il est célébré le 18 novembre 

 

Il est né le 3 novembre 1891 à Monsagro, province de Salamanque, et diocèse de Ciudad Rodrigo, baptisé le 8, confirmé le 8 mai 1896; Il a étudié à l'école de sa ville natale, où il a montré un penchant pour la calligraphie, les mathématiques et le dessin; il soigna les dominicains au sanctuaire de Peña de Francia et, assisté du supérieur, le majorquin P. Benito T. Riera, entra à l'école apostolique de Corias, province des Asturies; Il en prit l'habit le 8 août 1907 et, un an plus tard, fit sa profession; il a étudié la philosophie à Corias et la théologie à Salamanque, ordination sacerdotale le 18 décembre 1915; Avec l'autorisation opportune, il a célébré sa première messe devant le Saint Sacrement exposé et s'est ensuite offert comme victime expiatoire pour les blasphèmes et les sacrilèges à l'Eucharistie. 

 

Affecté au collège de Villava, province de Navarre, où il commence à écrire un ouvrage intitulé "Les dominicains et l'art"; est intervenue avec succès dans la fusion des Dominicaines de Villava avec la congrégation de la Sainte Famille, fondée aux îles Canaries par le Serviteur de Dieu José Cueto, O.P. 

 

En 1928, il fut affecté à l'école de Vergara, province de Guipúzcoa, où il publia d'autres écrits, l'année suivante au couvent de Santo Domingo el Real de Madrid; ici il se consacre à l'apostolat social et parmi les jeunes; en 1935, il se rend à San Esteban de Salamanca avec la mission de restaurer le sanctuaire de La Peña de Francia.

 

 Le 17 juillet 1936, il a fait un voyage à Madrid et, le 18 juillet, alors qu'il était dans un bus pour retourner à Salamanque, un étranger est apparu qui avait un besoin urgent de voyager dans cet environnement public et n'avait pas de billet; Il a remis le sien dans l'espoir de prendre un autre bus le lendemain, mais n'a pas pu quitter Madrid. Il passa au moins quinze jours sans foyer, dormant sur les bancs de la rue et ailleurs, mais à la fin il fut accueilli dans une maison, où il célébra tous les jours; dans sa vie clandestine, il a brillé par son zèle à porter l'Eucharistie à d'autres victimes de la persécution; Il n'a pas accepté l'offre qu'ils avaient faite de demander refuge dans une ambassade parce que, «pour un soldat du Christ», a-t-il dit, « c’était un honneur de mourir dans un acte de service sacerdotal», en fréquentant l'Église persécutée; 

Il avait une prémonition qui lui donnait la certitude de son prochain martyre, et il voulait profiter de ce temps en donnant la communion au plus grand nombre. 

Dans ce ministère, il a été arrêté le 4 octobre et a avoué sans détour qu'il était un frère dominicain, ils l'ont emmené au poste de police du Congrès, le 9 octobre ils l'ont mis à la disposition de la direction générale de la sécurité et, le lendemain, il a été détenu en prison. Modelo, où il se consacrait à la méditation et à la prière du rosaire; il a été soumis à de fréquentes tortures avec la pointe d'un rasoir.

 Le 15 novembre, il a été transféré à la prison de Porlier. Il a consommé son martyre le 18 novembre 1936 à Paracuellos del Jarama, province de Madrid

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Novembre 2020

 

 

 

 

Les avantages d'une confession fréquente :

 

Si la confession est un chemin difficile, il est cependant splendide. Ô bienheureuses fautes qui nous méritent de goûter la « Tendresse » de Dieu quand nous accueillons avec humilité son pardon !

 

Oui, la confession, c'est « l'autoroute » de la sanctification. Elle procure :

 

  • une vraie humilité chrétienne ;
  • plus de force contre ses mauvaises habitudes et ses paresses spirituelles ;
  • une profonde unité et paix intérieures ;
  • une exacte connaissance de soi-même…

 

Il est donc important de se confesser souvent, si possible au moins une fois par mois.

 

 

abbaye st Paul de Wisques. 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Novembre 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Novembre 2020

 

 

 

 

 

Excellent fromage de brebis de la fromagerie des bergers de saint Michel.

1 tomme (2.5kg) = 47£ (soit 18.8£/kg).
1/2 tomme (1.25kg) = 25£ (soit 20£/kg).

 

L’Etoile est un établissement libre, ouvert à tous. A travers un enseignement solide et structuré, les élèves développent leur intelligence et leur volonté. Ils pourront devenir des chercheurs de vérité, humbles et clairvoyants. Ils seront alors en mesure de discerner et de choisir leur place dans la société pour se mettre au service du bien commun. Les élèves sont invités à découvrir l’amour infini de Dieu pour chacun d’eux. Le savoir y est transmis à la lumière de la foi catholique.

lettre du pays basque. 

C’est au quartier Marracq à Bayonne où ce nouvel établissement scolaire vient d’ouvrir ses portes que nous avons rencontré son directeur Benoît Sinnig. L’« Etoile » - tel est son nom – arbore un programme pédagogique prometteur qui semble trancher sur une certaine médiocrité ambiante : Benoît Sinnig a bien voulu répondre à nos questions.

Il n’est pas commun d’ouvrir une école, qu’est-ce qui vous a poussé à le faire ?
- Ce projet a longuement mûri à travers mon expérience auprès des jeunes. J’ai travaillé durant cinq années dans des quartiers dits « sensibles » à Marseille et en Seine-Saint-Denis avec l’association « Le Rocher - Oasis des Cités ». C’est à travers le suivi scolaire des enfants que j’ai constaté de grandes lacunes sur les savoirs fondamentaux, à savoir, lire, écrire et compter. Les quelques exceptions qui allaient jusqu’au lycée général échouaient systématiquement en première année d’étude. Je travaille actuellement auprès d’adolescents de familles plus favorisées. Je constate pourtant les mêmes types de lacunes pour une partie d’entre eux, alors que leur milieu de vie est porteur. 

Dans mes recherches pour comprendre les raisons de ces mêmes lacunes, j’ai découvert par exemple, grâce à des experts, que beaucoup de choses se jouaient dès l’apprentissage de la lecture, qui n’est pas seulement un code mais structure véritablement la pensée. Il en va de même pour les mathématiques. 

Parce qu’elle est rapide, l’intuition est sur-stimulée spécialement aujourd’hui et ce au détriment de l’analyse logique qui demande plus de temps. Une équipe s’est formée autour d’un projet d’établissement scolaire au Pays Basque. Nous nous sommes donné pour première exigence de former des enfants qui sachent bien lire, bien écrire et bien compter.

Pourriez-vous en dire plus sur vos spécificités ?
- La création d’une école implique forcément le fait que nous ne soyons pas liés par contrat à l’Etat. Cela donne plus de libertés sur les choix pédagogiques et l’organisation du temps. Cette liberté a un prix : ces écoles sont soumises à des contrôles réguliers et exigeants de la part de l’administration et surtout, ne reçoivent aucune subvention publique. 

Comment mettez-vous à profit cette liberté ?
- Nous tenons à donner une place majeure aux apprentissages fondamentaux : lire, écrire, compter. Les matinées y sont entièrement consacrées. Au primaire, la dictée est quotidienne, ils travaillent beaucoup la grammaire, la conjugaison, le calcul mental. Ils manipulent le plus possible. Et pour chaque leçon, nous donnons aux élèves le sens des choses pour que leur intelligence soit véritablement éveillée. Comme je vous l’ai dit, c’est d’abord pour cela que nous avons créé cet établissement.

Durant les après-midi, l’accent est mis sur le développement des talents, la découverte du monde et le sport. En ce moment, les enfants travaillent le théâtre et le chant. Nos deux institutrices ont des compétences musicales et artistiques. L'une d'elles est chanteuse lyrique au Conservatoire. Elles transmettent à leurs classes le goût des arts. Les élèves apprennent à chanter mais développent aussi leur culture musicale. Pour vous donner un exemple, les enfants ont fait du coloriage tout en écoutant « Le Messie » de Haendel qui leur était expliqué au fur et à mesure de l’écoute. Nous souhaitons conduire les enfants à produire quelque chose de qualitatif. Ainsi, lors d’un spectacle, les parents pourront applaudir parce que c’est beau et non pas seulement parce que ce sont leurs enfants.

Les effectifs sont réduits, les élèves peuvent être accompagnés de façon personnalisée et peuvent s'épanouir dans une ambiance familiale et bienveillante. Chaque enfant est conduit à donner le meilleur de lui-même et à grandir dans toutes les dimensions de sa personne. 

La nature est aussi un merveilleux champ d’exploration qui ramène toujours au réel. Les enfants bénéficient d’un grand parc arboré pour les récréations avec un poulailler. Actuellement, ils y font des cabanes et jouent beaucoup dans les feuilles mortes.

Pour finir, l’« Etoile » est une école de confession catholique ouverte à tous. L’ensemble du savoir y est transmis à la lumière de la foi. Et les élèves sont invités à découvrir l’amour de Dieu pour chacun d’eux. 

Comment se passe cette première rentrée ?
- Nous avons eu très peur de ne pouvoir ouvrir à cause des rallongements de délais administratifs liés au contexte sanitaire. Finalement la rentrée a pu avoir lieu début septembre, avec 17 élèves, du CP à la 6ème. Ils sont répartis en deux classes multi-niveaux, ce qui est très stimulant pour les enfants comme pour les maîtresses. La rentrée s'est très bien passée, c'est un rêve qui voit le jour après des années de mûrissement.

Quels sont vos projets pour les années à venir ?
-Nous sommes en pleine réflexion à ce sujet car nous avons des demandes d'inscription pour l'an prochain, ce qui nous conduit à nous agrandir en louant plus de salles. A terme nous voulons offrir une scolarité de la petite section à la 3eme, donc à la fois une maternelle, un primaire et un collège. 

Avez-vous un message à passer à nos lecteurs ?
- Tout d'abord, n'hésitez pas à venir découvrir notre site internet : http://www.letoile.education
Si vous connaissez des parents à la recherche d'une école différente pour leur enfant, nous sommes là pour répondre aux questions. Enfin, si vous souhaitez nous soutenir d'une manière ou d'une autre, nous vous en sommes très reconnaissants car les charges sont là : salaires des institutrices, loyer, matériel pédagogique... Nous refusons de sélectionner les familles en fonction de leurs revenus. Donc une grande partie d’entre elles ne peuvent porter le poids du coût réel de la scolarité de leurs enfants. Tous vos dons sont déductibles des impôts. Merci à chacun !

 
Un grand merci, chaque geste de soutien et d'encouragement compte pour nous!
 
Union de prière!
 
Benoît SINNIG, Directeur

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Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Novembre 2020

 

 

 

Témoignage de l'employé hindou de Carlo Acutis, Rajesh Mohur, qui est devenu la foi catholique grâce à son témoignage de vie.

Rajesh a vu le petit Carlo grandir, les deux sont devenus de très grands amis, une amitié qui transcende maintenant au-delà du ciel, allaient au parc ensemble, à l'église, Rajesh l'accompagnait à de nombreuses parties, Carlo le traite toujours avec beaucoup de gentillesse et non comme Un employé à son maître Carlo était un enfant très cher, il traitait toujours tout le monde avec beaucoup d'amour.
Rajesh nous dit :
′′ Tout le monde dans le quartier le connaissait. Quand il passait sur son vélo, il s'arrêtait pour saluer les gardiens, dont beaucoup musulmans ou hindous. (Ils étaient présents à leurs funérailles) Il leur a parlé de lui-même, de sa foi et ont entendu ce jeune homme gentil et affable, doux et charmant.
À l'heure du déjeuner, je mettais la nourriture restante dans des récipients de nourriture à emporter aux sans-abri de la région ".
Une amitié profonde s'est formée entre Rajesh et Carlo au point que Rajesh est devenu et a demandé à recevoir les sacrements. (comment est-il possible qu'un enfant si petit parle avec tant de maturité et d'amour de sa foi ? ajouté. ))
Rajesh raconte : ′′ Il a dit qu'il serait plus heureux si je m'approchais de Jésus. J 'ai été baptisé chrétien parce qu'il m'a contacté et m'a captivé par sa foi, sa charité et sa pureté ".
′′ Je l'ai toujours considéré au-delà de la normale car un homme si jeune, beau et riche préfère normalement vivre une vie différente ", ajoute-t-il. Et ajoute aussi : ′′ Mais Carlo ne savait pas ce que signifiait une ′′ vie différente ". Pour lui, l'argent n'est pas gaspillé : il a utilisé ses économies pour acheter un sac de couchage pour le clodo qu'il voyait quand il allait à la messe. Et je donnerais de l'argent aux cappuccinos qui servaient des déjeuners pour les clochards ".
Morale : la sainteté ne sont pas des choses super grandes, ce sont des choses super quotidiennes, Carlo a su faire de l'ordinaire quelque chose d'extraordinaire.
 
 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Novembre 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Novembre 2020

 

 

 

Comme la vocation chrétienne est grande et belle, et également simple, vue sous cette lumière! Nous sommes tous appelés à la sainteté: elle est la mesure même de la vie chrétienne. Encore une fois, saint Paul l’exprime avec une grande intensité, lorsqu’il écrit: «Chacun de nous a reçu sa part de la faveur divine selon que le Christ a mesuré ses dons...

C'est lui encore qui “a donné” aux uns d'être apôtres, à d'autres d'être prophètes, ou encore évangélistes, ou bien pasteurs et docteurs, organisant ainsi les saints pour l'œuvre du ministère, en vue de la construction du Corps du Christ, au terme de laquelle nous devons parvenir, tous ensemble, à ne faire plus qu'un dans la foi et la connaissance du Fils de Dieu, et à constituer cet Homme parfait, dans la force de l'âge, qui réalise la plénitude du Christ» (Ep 4, 7. 11-13).

Je voudrais inviter chacun à s’ouvrir à l’action de l’Esprit Saint, qui transforme notre vie, pour être nous aussi comme des pièces de la grande mosaïque de sainteté que Dieu crée dans l’histoire, afin que le visage du Christ resplendisse dans tout son éclat.

N’ayons pas peur de tendre vers le haut, vers les sommets de Dieu; n’ayons pas peur que Dieu nous demande trop, mais laissons-nous guider dans chacune de nos actions quotidiennes par sa Parole, même si nous nous sentons pauvres, inadéquats, pêcheurs: c’est Lui qui nous transformera selon son amour.

Benoît XVI 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Novembre 2020

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Publié le 16 Novembre 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 16 Novembre 2020

Rédigé par Philippe

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