Publié le 1 Août 2017

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Publié le 31 Juillet 2017

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Publié le 31 Juillet 2017

 vraiment très beau ! bravo !

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Publié le 31 Juillet 2017

 

 

 

 

 

 

dédicace : mgr Alain Castet évêque de Luçon

abbé Loïc Bellais , recteur.

abbé Guillaume Loddé fssp  +

abbé Martin Danielou fssp +

merci pour votre disponibilité et votre gentillesse,  bonnes et saintes vacances. 

Priez pour moi .

quelle chorale et des Aoûtiens nombreux..

 

 

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Publié le 30 Juillet 2017

Retraite de découverte de la vie monastique pour les jeunes hommes de 16 à 35 ans. Liturgie, oraison, lectio divina, enseignements, travail manuel, rencontre avec un moine. en pensée pour tous les jeunes "regardants" bénédictins, qui optent pour ce choix de vie,  pendant ces périodes de vacances.. 2017.

 

 

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Publié le 30 Juillet 2017

 

 

Время, которое ты уделишь Богу, никогда не будет потеряно напрасно.

+

Le temps que vous donnez à Dieu, ne sera jamais une chose vaine.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 30 Juillet 2017

 

Exposés à la vénération du public depuis le 21 Mai, les reliques de Saint Nicolas repartent à Bari avec une délégation du Vatican.

En Russie, le pourcentage des athées est tombé de 26 à 13% en trois ans

Le pourcentage des Russes s’identifiant comme athées est tombé de 26 à 13% durant les trois dernières années, tandis que celui de ceux qui se considèrent comme «religieux» est passé de 35 à 53%, selon une nouvelle recherche du Centre analytique «Levada» de Moscou. L’enquête a été menée du 23 au 26 juin sur un échantillonnage de 1600 personnes, de milieux urbains et ruraux, âgées de 18 ans et plus, dans 137 localités des 46 régions que compte la Russie. Le christianisme reste la religion prédominante en Russie, et la vaste majorité des Russes – 92 à 93% éprouve du respect et est bienveillante envers les chrétiens orthodoxes dans le pays. 1% seulement a exprimé une antipathie envers les chrétiens orthodoxes. Ces résultats ne sont que légèrement différents de ceux de décembre 2013. Pour ce qui concerne les catholiques-romains, 74% des sondés ont répondu qu’ils avaient du respect et de la bienveillance envers eux, 5% seulement déclarant qu’ils éprouvaient un sentiment d’hostilité ou de crainte à leur égard. Seuls 13% des Russes ont répondu qu’ils avaient un sentiment d’hostilité ou de crainte à l’égard des musulmans.

En France, sic  "la foi elle-même est parfois abandonnée par ceux-là mêmes qui ont reçu du Christ mandat de l’annoncer jusqu’aux extrémités de la terre." (pauvres gens! heureusement qu'ils sont là !  c'est vrai que mon évêque n'a pas la foi, faudra que je lui dise. quelle misère ces intégristes. pas beaucoup d'évolution en 40 ans toujours les sempiternelles mêmes rengaines .. ! )

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Juillet 2017

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Publié le 29 Juillet 2017

  

Lorsqu'elle eut été élevée par les anges jusques à la droite du Roi des rois, la Sainte Vierge Marie surpassa, de par sa condition d'épouse et de reine, tous les habitants du ciel et de la terre : Exaltata est sancta Dei Genitrix super choros angelorum ad caelestia regna.

   La liturgie de notre fête revient avec complaisance sur l'idée de la Vierge s'avançant au-dessus de tous les choeurs angéliques qui bénissent avec joie cette nouvelle victoire de leur propre Seigneur : Assupta est Maria in caelum, gaudent angeli, laudantes benedicant Dominum. 

Le triomphe de Notre-Dame entrant au ciel est celui d'une reine, dont l'avènement, longtemps attendu et désiré, suscite un frémissement d'enthousiasme et d'allégresse.

Il n'y a rien de plus délicieux, de plus touchant dans l'office de l'Assomption que cette antienne de Laudes, où se trouve exprimé de façon si gracieuse le ravissement des élus lorsque la Vierge pénètre au paradis avec toute la splendeur d'une aube naissante : "Quae est ista, quae ascendit sicut aurora censurgens, pulchra ut luna, electa ut sol, terribilis ut castrorum acies ordinata? " Quelle est donc celle-ci qui s'élève comme l'aurore, avec la beauté de la lune, l'éclat du soleil , et l'aspect terrible d'une armée rangée en bataille? "

  Antienne qui fait écho au chant non moins suave mais plus mélancolique des habitants de la terree saluant avec regret le départ de la plus belle des créatures:  Virgo prudentissima, quo progrederis, quasi aurora valde rutilans ?  Filia Sion, tota formosa et suavis es, pulchra ut luna, electa ut sol. "  Vierge très prudente, où allez-vous ainsi, empourprée comme l'aurore?  Fille de Sion, vous êtes toute beauté et suavité, ravissante comme la lune, brillante comme le soleil . "

   Depuis son couronnement dans les cieux, l'intercession de la Vierge est devenue la prière d'une reine.

    C'est dire qu'elle jouit d'un pouvoir total et souverainement efficace sur le coeur de l'Epoux. Disposant à son gré de la source universelle de tous les biens, Notre-Dame est à même d'intervenir dans la dispensation de toutes les grâces, sans exception. Ce qui est pour elle la récompense de ses mérites est aussi pour nous le fruit très avantageux de son exaltation.

   L'Eglise s'empresse de nous procurer le bénéfice de cette intercession royale et toujours accueillie. Elle en fait valoir l'efficacité dans les trois oraisons de la messe du 15 Août, mais surtout, dans la Secrète, où il est très justement dit que si la Vierge Marie a repris son corps pour monter au ciel, c'est afin de siéger en personne auprès de son divin Epoux, et d'y exercer à notre profit une influence qui se fera toujours sentir :" Quam etsi pro conditione carnis migrasse cognoscimus, in caelesti glria apud te pro nobis intercedere sentiamus. " 

    Déjà la Collecte insinuait que l'intercession de Notre-Dame est de sa nature si agréable à Dieu, qu'elle peut suppléer à l'impuissance où nous sommes de lui plaire :" ut qui tibi placere de actibus nostris non valemus, Genitricis Filii tui Domini nostri intercessione salvemur . "

Enfin dans la Postcommunion l'Eglise, en présence de tous les maux qui la menacent semble ne voir de salut que dans l'intercession de cette nouvelle Reine, incomparablement plus puissante que ne le fut Esther auprès d'Assuérus :" Ut qui assumptionnem Dei Genitricis colimus a cunctis malis imminentibus ejus intercessione liberemur. "

   Il n'y avait donc rien d'exagéré à dire, comme nous le faisions en commençant, que le cycle des mystères rédempteurs ne s'achève proprement qu'au jour de l'Assomption de la Vierge Marie.

   Il ne nous suffit pas que le sacrifice de la Croix ait été consommé et l'Hostie agréée; ce n'est pas assez que le Christ glorifié dans sa chair remonte au ciel à la droite de son Père, pour y devenir en lui-même et pour toujours la source de notre vie.  Il nous faut encore recevoir par dispensation les fruits de la Croix, ce qui ne peut se réaliser d'une manière convenable sans l'intervention de l'Epouse et Mère de notre Rédempteur.

   Aussi revient-il à la Vierge Marie de s'interposer, comme médiatrice, dans la répartition des richesses conquises sur le Calvaire. A la Vierge Marie de connaître dans la lumière de gloire les appels et besoins de tous ses enfants, de les représenter à notre Sauveur et de faire dériver sur chacun d'eux les eaux vivifiantes de la grâce divine.

   Si bien qu'il ne peut y avoir de salut pour nous dans le Christ Jésus, si ce n'est par le miséricordieux intermédiaire de l'Eve nouvelle. C'est elle qui dans sa bienveillance nous donne part au fruit de vie, comme nous le reconnaissons, chaque fois que nous lui disons avec l'Eglise :" Per te fructum vitae communicavimus. "

   Mais il fallait que Notre-Dame fût glorifiée, pour qu'elle devint, selon le mot très expressif de la liturgie mozarabe, cette avocate incomparable, suffragatrix incomparabilis, dont l'intercession est d'une telle étendue et d'une telle puissance qu'elle ne peut être égalée par celle de tous les autres saints réunis.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Juillet 2017

 

   L'Assomption de la Vierge Marie, par cela même qu'elle constitue le complément indispensable de la solennité pascale, est de toutes les fêtes du propre des saints celle qui se rattache le plus étroitement à la liturgie du temps, c'est-à-dire à cette portion essentielle du cycle sacré qui nous fait revivre chaque année et selon tout son développement l'oeuvre de notre salut.

   En effet, tout n'est  pas fini lorsque l'Eglise nous a conduits jusqu'à l'exaltation du Christ Jésus montant au ciel pour y siéger à la droite de son Père comme notre Seigneur et Roi , et nous départir en qualité de Pontife suprême les fruits de son sacrifice, car il convient de considérer le cycle de la Rédemption comme n'étant définitivement révolu que le jour très glorieux où il nous est donné de voir la nouvelle Eve rejoindre son céleste Epoux et partager avec lui les honneurs d'une victoire dont elle a été, pour sa part, le précieux instrument.

   Nous ne pouvons pas ignorer que, conformément à une disposition de la Sagesse éternelle dont les Pères ont fait admirablement valoir les sublimes convenances, la magnificence de la réparation devait répondre de point en point à l'étendue de la chute originelle. En vertu de ce décret divin, il fallait que le Christ et son Epouse la Vierge Marie fussent unis dans une même oeuvre pour rendre la vie à ceux que la faute du premier couple avait entraînés dans la mort.

   Seulement, l' Eglise, comme de juste , ne célèbre pas le double triomphe du Seigneur Jésus et de son Epouse sans tenir compte de la part respective qui revient à chacun dans l'économie de notre rédemption. L'importance de ce qui a été réalisé en la personne du nouvel Adam, devenu par son sacrifice notre Chef et notre Vie , est de telle nature que l' Eglise juge indispensable de nous faire parcourir tour à tour, chacune des étapes de l'oeuvre du salut, dont les diverses parties, la bienheureuse passion, l'ensevelissement , la sainte résurrection et l'admirable ascension, se coordonnent et se compénètrent dans l'unité d'un même mystère, ce mystère pascal où le Christ Jésus nous fait passer, avec Lui et en Lui, de ce monde chez son Père.

   Quant au Passage de Notre-Dame, nous le célébrons dans une seule fête, mais qui est d'autant plus glorieuse et d'autant plus chère à la piété chrétienne, qu'elle nous propose en le résumant tout le mystère de sa sublime assomption.

   Un moine du XI° siècle, Jean Maurope, évêque d'Euchaaïta, définissait ainsi l'objet de la plus belle des fêtes de la Vierge Marie :" Aujourd'hui nous célébrons le sommeil de la Mère de Dieu, la déposition de la Mère de Dieu, la Résurrection , l'Ascension et l'exaltation de la Mère de Dieu, ; merveilles surajoutées à d'autres merveilles, car cette Mère de Dieu est Fille de Dieu, Epouse de Dieu; cette Epouse est Vierge, et cette Reine veut être avant tout servante. "

   La merveilleuse complexité de la fête du 15 Août lui a permis nombre d'appellations, dont chacune faisait opportunément ressortir tel ou tel aspect particulier du mystère.

   Le terme de Dormitio ou Pausatio redisait d'une manière agréable la brièveté et la douceur d'un trépas causé par l'excès de l'amour.

   Le titre de Natale convenait d'autant mieux à la plus insigne des fêtes de la Vierge, que la résurrection de Notre-Dame présente, comme celle de son divin Fils, tous les caractères d'une naissance complète à la vie de la gloire.

   Quant au titre d'Assomption, non moins recommandable que les précédents par son antiquité, il devait très justement prévaloir, puisque, si on veut bien l'entendre selon toute la largeur de sa signification, il ne se rapporte pas seulement au fait isolé de l'ascension corporelle, mais résume en un seul mot et selon ses diverses phases le mystère entier de l'exaltation sublime de la bienheureuse Vierge Marie.

    Aucune expression ne pouvait mieux traduire le caractère propre d'un pareil triomphe. Car il plut à Dieu d'élever en ce jour jusqu'au ciel la plus humble des créatures, pour la placer à la droite du Roi des rois, dans la condition d'épouse et mère de son Fils unique.

   Mais admirons ici la délicatesse de l'Eglise, qui ne néglige jamais rien pour rendre les moindres nuances de sa pensée. Voulant marquer toute la différence qui sépare la glorification du Seigneur et celle de sa très sainte Mère, l'Eglise donne le nom d'Ascension au triomphe du Christ Jésus, monté au Ciel par les seules forces de sa nature divine, et réserva le titre d'Assomption à celui de Notre-Dame, afin de faire bien entendre que la Vierge Marie avait été exaltée par la vertu de son propre Sauveur, parce qu'il ne convenait pas que le Fils de l'homme siégeât dans l'éclat de sa gloire sans avoir auprès de lui la Femme qui l'avait secondé ici-bas dans l'établissement de son empire.

   On peut le dire en toute vérité, c'est au jour de l'Assomption que s'achève, d'une manière totale et définitive, entre le nouvel Adam et son épouse, l'union dont la magnificence avait été préparée par la Sagesse divine. Depuis lors rien ne manque plus à la perfection de ces noces royales. La reine siège à la droite du roi, adstitit regina a dextris tuis. , la souveraine auprès du souverain, c'est-à-dire , comme le chante l'Eglise, que la Vierge Marie, montée au ciel, règne avec le Christ et pour toujours,  :" Hodie Maria Virgo caelos ascendit , gaudete quia cum Christo regnat in aeternum."

   Sans doute l'Epouse du Christ n'est pas Dieu, mais le Christ n'a pu retourner " en forme de Dieu " et devenir au ciel Seigneur et Roi, sans que la Vierge Marie passât elle - même en condition d'Epouse de Dieu, et devînt à son tour notre reine et Notre-Dame.

Si, de par sa nature propre, et pour son honneur, la Vierge de Nazareth ne cesse jamais d'être servante, comme elle le revendique elle-même :" Ecce anciilla Domini, elle a reçu cependant de la faveur divine un rang qui lui assure une véritable communauté de titres et de biens avec son royal Epoux.

Saint Jean Damascène nous le dit en propres termes :" Il fallait que l'Assomption glorieuse mît la Mère de Dieu en possession de tous les biens de son fils et lui assurât l'hommage de tout l'univers. "

La Vierge Marie acquit de ce fait une situation tellement exceptionnelle, qu'elle est de toutes les créatures la seule dont on puisse dire qu'elle confine à la Déité :" quae sola ad fines Deitatis attigit ;"

 

  dom Emmanuel Flicoteaux osb +  

 

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